• Quelque soit les tortures que je veuille faire subir à mon esprit, recherchant mil chimères pour rendre à ton âme exalté les couleurs que mon cœur et mes yeux admirent sans même les rechercher.

    Quelque soit l'envie que puisse avoir le faible esprit plongement de ma main; mains malhabiles, représentantes d'un esprit imbécile voulant imiter le prince des oiseaux d'Ether ; quand ses charognes dignes d'un bouffon du Styx méritent à  peine un sourire mi poli mi déçu au bout du septième tour.

    Quelque soit la sueur coulée au fond de la Clepsydre, la plume de ce bouffon amant n'entendra jamais que deux mots...

     

     

    me revoilà :) dites moi ce que vous en pensez.... 


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  • Bonjours, juste un petit coup de pub pour un blogg que j'ai crée avec des amis passez voir si vous pouvez : http://lencyclopedie.over-blog.org/

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  • Beauté que le printemps m'a révélé, brisée


    Tu fus le soleil de cette nuit, mon alliée,


    Rose déracinée,  ma merveille, ma Panacée,


    L'aurore inespérée d'une nuit sans sommeil !


     


    Tes yeux ambre dans lesquels je n'ai jamais su


    de quelle manières les miens ce reflétaient,


    égalaient en beauté tes douces courbes nues


    que mes prunelle s'affamées n'ont pu qu'observer...


     


    Ame fragile, corps brisé tu m'as porté secours


    ton souri m'a permis d'avancer chaque jour.


    compagne d'infortune partagent mon cauchemar,


    éclairant le chemin de nos limbes tel un phare


     


    ( Si nos sentiments ne furent point de cupidon,


    Tu es et resteras a jamais une amie,


    Joyau que le temps ni la vie n'altérerons.


    Pour tout ce que tu as fait : mil et mil mercis. )






    Bon la derniere strop est à chier je sais (au niveau lecture y'a quelques diereses à faire et quelques arcaïsmes à moi - pas forcement d'ailleur - )


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  • Je vien aujourd'hui de decouvrir que je fut et serai à jamais inutil, car tous ce que je cherchais a demontrer ce trouve sous vos yeux


    La sottise, l'erreur, le péche, la lésine,
    Occupent nos esprits et travaillent nos corps,
    Et nous alimentons nos aimables remords,
    Comme les mendiants nourrissent leur vermine.

    Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches;
    Nous nous faisons payer grassement nos aveux,
    Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux,
    Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches.

    Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste
    Qui berce longuement notre esprit enchanté,
    Et le riche métal de notre volonté
    Est tout vaporisé par ce savant chimiste.

    C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent.
    Aux objets répugnants nous trouvons des appas;
    Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas,
    Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.

    Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange
    Le sein martyrisé d'une antique catin,
    Nous volons au passage un plaisir clandestin
    Que nous pressons bien fort comme une vieille orange.

    Serré, fourmillant comme un million d'helminthes,
    Dans nos cerveaux ribote un peuple de démons,
    Et quand nous respirons, la Mort dans nos poumons
    Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes.

    Si le viol, le poison, le poignard, l'incendie,
    N'ont pas encore brodé de leurs plaisants dessins
    Le canevas banal de nos piteux destins,
    C'est que notre âme, hélas! n'est pas assez hardie.

    Mais parmi les chacals, les panthères, les lices,
    Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents,
    Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants,
    Dans la ménagerie infâme de nos vices,

    Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde!
    Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes, ni grands cris,
    Il ferait volontiers de la terre un débris
    Et dans un bâillement avalerait le monde.

    C'est l'Ennui!- L'oeil chargé d'un pleur involontaire,
    Il rêve d'échafauds en fumant son houka.
    Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
    Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère!

    Charles Baudelaire

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  • Apres tous ce qui a pu être écrit ici vous pourriez aisément vous dire : "ce "peace warior" (avec un seul "r" j'y tien) n'a finalement rien de spécialement intéressant ce n'es pas plus que tous ces autre true rebelz qu'on peut rencontrer -vraiment- partout"
    Oui, peut-être suis-je un true rebelz, après tout le propre du true rebelz c'est d'ignorer son identité profonde. Mais, il m'a toujours semblait que le true rebelz n'a jamais fais l'effort d'analyse du monde qui l'entour, de ce qu'il nomme avec dédain "
    société" le true rebelz cri haut et fort qu'il ce situ au dessus de cette "société" qu'elle ne l'englobera jamais (si je vous cite une certain "société tu m'auras pas", là ? Vous voyez où je veux en venir ?).

    Or,

    Le true rebelz est un mouton qui va a droite quand tout le reste du troupeau va a gauche. Or pour guider un troupeau de mouton il est préférable que touts les moutons aille dans le même sens...

    Dans ce cas trois possibilités s'offre au berger : premièrement : s'acharné sur le mouton pour qu'il rejoigne le reste du bétail, ce qui n'est jamais très efficace dans la mesure où l'on a pu noter une résistance bien supérieur a celle de ses camarades lorsqu'on le force a quelque chose. Deuxième possibilité ce débarrasser de l'animal déviant mais, cette seconde possibilités comporte  un petit désavantage : la perte d'un mouton (on a souvent négligé ce détails et considérer que cette solution soit la meilleure). Il existe alors une possibilité légèrement plus subtile qui permet la conservation de la bête : repérer tout ses congénères les rassembler (tache très facile) et tous les guider vers le même lieu, en partant de la gauche !

    La "société" ennemie jurée (et déclaré) du true-rebelz aura donc réussi a canaliser, un créant un environnement parallèle Identique les idées du beugleure ; ses idées ainsi stéréotypées pourrons ainsi être guidé d'une seul voix comme celle de tous les autre.

    Si l'on considère que pour exister les agissements doivent émaner d'une réflexion personnelle alors, ni "peace warior" ni le true rebelz ne sont des être à part entière ; mais cela pour des raisons diamétralement opposées : le true rebelz agit sans aucune pensées personnelle, tandis que "peace warior" tente de penser sans que cela n'entraîne la moindre conséquence physique;

     


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