• Merci

    Beauté que le printemps m'a révélé, brisée


    Tu fus le soleil de cette nuit, mon alliée,


    Rose déracinée,  ma merveille, ma Panacée,


    L'aurore inespérée d'une nuit sans sommeil !


     


    Tes yeux ambre dans lesquels je n'ai jamais su


    de quelle manières les miens ce reflétaient,


    égalaient en beauté tes douces courbes nues


    que mes prunelle s'affamées n'ont pu qu'observer...


     


    Ame fragile, corps brisé tu m'as porté secours


    ton souri m'a permis d'avancer chaque jour.


    compagne d'infortune partagent mon cauchemar,


    éclairant le chemin de nos limbes tel un phare


     


    ( Si nos sentiments ne furent point de cupidon,


    Tu es et resteras a jamais une amie,


    Joyau que le temps ni la vie n'altérerons.


    Pour tout ce que tu as fait : mil et mil mercis. )






    Bon la derniere strop est à chier je sais (au niveau lecture y'a quelques diereses à faire et quelques arcaïsmes à moi - pas forcement d'ailleur - )


  • Commentaires

    1
    Vendredi 16 Décembre 2005 à 19:12
    Tulavukimoncu
    Ben franchement ... jsuis ettoné ! qu'un ptit scientifique comme toi qui se sous estime vachement puisse écrire des choses aussi belles - bon ok y'a quelques fautes d'ortho mais t'es en S lol - je suis certainement pas un specialiste mais je sais au moin ce qui fait ressortir et ressentir des emotions et je dois dire mon ptit sach que ton texte, on sent que c'est du vécu , et je trouve objectivement que c'est tres beau et tres bien écrit... J'espere que la principale concernée tombera dessus ... ( Peut-etre toi, coquine, qui lit ce commentaire? )
    2
    Moi
    Vendredi 16 Décembre 2005 à 19:14
    loooooooooool
    merci vico :D
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    3
    Moi
    Vendredi 16 Décembre 2005 à 19:15
    sa me touche bcp
    serieux merci
    4
    macolline
    Lundi 19 Décembre 2005 à 05:13
    chose promise...
    Beauté que le printemps m'a révélé, brisée Tu fus le soleil de cette nuit, mon alliée, Rose déracinée, ma merveille, ma Panacée, L'aurore inespérée d'une nuit sans sommeil ! Tes yeux ambre dans lesquels je n'ai jamais su de quelle manière les miens se reflétaient, égalaient en beauté tes douces courbes nues que mes prunelle affamées n'ont pu qu'observer... Ame fragile, corps brisé, tu m'as porté secours ton sourire m'a permis d'avancer chaque jour. compagne d'infortune partage mon cauchemar, éclaire le chemin de nos limbes tel un phare Si nos sentiments ne furent point de Cupidon, Tu es et resteras à jamais une amie, Joyau que le temps ni la vie n'altérerons. Pour tout ce que tu as fait : mille et mille mercis.
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