• Petite bête tu es bloquée, enfermée, enprisonner par ce que tu as crée, bannit à jamais dans les rouages millenaires, ton sanctuaire.

    Tout simplement parce-que ce dans quoi tu te trouve (ce que certain nommerons sisteme, mais je m'y refuse dans la mesure ou cette notion est plus la resultante de la somme de tes contradiction qu'une chose qui a pu etre mis en place par certains contre d'autre dans la mesure où, tout au long des ages cette façon de fonctionner a plus ou moin perduré

    Une chose que tu dois à ta ouasivté permanente celle qui permet à seulment quelqu'un de tes semblable de mettre la main sur toi, et avec l'aide de ton esprit qui se porte tres bien que l'on lui montre ce qui veut qu'on lui dit ce qu'il souaite entendre. Ton opignion et tes grandes convictions sont pareil à une mer avec laquelle, à l'aide d'un minimum d'elocances qu'elle que soit  ce qu'elle recouvre, un joueur peut jouer les Odin sans trop de crainte, dechirant ce que tu as batis sur ces conviction telle les voiles d'un vaissau voguant sur cette mère, pour rebatir ensuite tel qui l'entent, juste en  t'hypotisant

    Tu as toujours compté sur des heros pour te sortir d'où tu te trouve -non pas que la notion d'heroique  te rejouissent particulièrment. C'est surtout que si tu pouvais ne pas bouger celà t'arangerait plutôt, et que de toute façon tu ne bougeras pas...- ne t'es tu jamais demandé pourquoi ces fils de dieux,ces providences, ces allégorie de libertée ce sont toujours ecroulés ?

    (c'est un brouillon mais dite moi juste si vous comprenez)


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  • "je veux prouver que les chercheures de paradis font leur enfer, ils le preparent, le creusent avec un succès dont la prevision les epouvanterait peut-être..."

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  • Tout est d'or autour de toi, tout brille. A ton plafond sont suspendus des lustres de cristal illuminant ta vie de toute leurs gloires, les murs tapissés de scènes de victoires rappellent à ta mémoire ton empire que jamais tu n'as vu choir, le sol couvert un marbre d'un blanc tel qu'il ferait pâlir les plus glorieux fils d'Horus, dans laquelle se reflète une coupole dont les fresques paraissaient, peintent de la main de Minerve ou d'Athéna.
    Cette pièce étouffante de poussière d'or se recouvre parfois de miroirs où ta conscience ne peut voir, elle qu'une immense pièce morte sur laquelle, malgré tes demandes Saturne et Cronos n'ont pu stopper leur ouvrage.
    Une pièce dans laquelle je ne peux voir que ton corps allongé le visage confondu dans un marbre d'albâtre, un corps dont les mains se sont relâchées du verre brisé dans lequel la liqueur de Bacchus à coulée pareil au sang dans tes veines, verre dans lequel je me suis noyé et dont seul le souffle d'Adès à pu me libérer.


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  • Petites bêtes hypocrites dont l'imagination Pharahonique permet de créer des monstres chimèriques à te damner juste pour oublier ce  qui en realité aujourd'hui même est a ta portée.

    Petite bête stupide tu avais peut-être raison,
    il faut maquiller les erreurs futures et passées
    pour ne pouvoir qu'entre-voir ce que tu as echafaudé,
    finalment, ceux qui ont osaient regarder faut-il les apeller fous ou éclairés?

    (troisieme partie à paraitre)


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